


Notre résidence au Lycée Français de New York
Notre résidence au Lycée Français de New York
Le but de cette résidence était de partager de façon poétique le personnage de Pierrot, personnage romantique au visage enfariné qui depuis longtemps est associé au patrimoine Français.
Après une brève initiation à l’Art du Mime, avec le département des professeurs de Français, qui travaille en parallèle sur le film “Les Enfants du Paradis” de Marcel Carné, ils ont développé leur propre interprétation de Pierrot et de son histoire émouvante.
Nos remerciements vont aux professeurs qui ont soutenu ce projet en le rendant possible.
Bravo à tous, la relève des Pierrot est déjà prête aussi de ce côté de l’Atlantique…
Photos LFNY Lycée Français de New-York – Cliquez sur les vignettes pour accéder à la galerie

Christy Leung de TVB Hong Kong présente notre école
Décidément, notre notoriété ne connait plus de frontières. Cette fois c’est TVB de Hong Kong qui nous a rendu visite avec la pétillante Christy Leung qui a présenté notre Ecole pour leur audience internationale qui couvre aussi bien le Canada, les USA, Taiwan, Okinawa.

Mary in Paris, une élève qui nous honore
En reportage sur l’Open de tennis français à Roland Garros pour Tennis Channel, la journaliste Mary Carillo de L.A. (USA) suit un cours de mime dans notre école. Mary Carillo a visité des endroits spéciaux et des endroits emblématiques autour de Paris.
Tennis Channel est basé à Los Angeles et la série produite par Mary Carillo s’appelle “Mary in Paris”
Elle a réalisé un petit film sur notre école que nous sommes heureux de partager avec vous :
Tennis Channel
https://tennischannel.cimediacloud.com/mediaboxes/e605be03206348ab9a9e429642b1dad7

Grand Format du Journal Télévisé de France2
Le Mime est au delà des modes, de l’antiquité à nos jours, il est intemporel

Miles Gloriosus
Miles Gloriosus
Miles Gloriosus
- Prima Mondiale -
Miles Gloriosus
– En Première Mondiale –
L’École Internationale de Mime Corporel Dramatique de Paris présente Ivan Bacciocchi et Camillo Grassi dans Miles Gloriosus (Le soldat fanfaron) de Plaute (Titus Maccius Plautus né vers 254 av. J.-C.) avec Anna Capellari, Venula Cauli, Jacopo Costantini, Cosette Dubois, Mauro Eusti, Jason Ribes et des élèves de l’ÉCOLE INTERNATIONALE DE MIME CORPOREL DRAMATIQUE de Paris, Masques réalisés par Anna Cappellari, directrice adjointe Natalie Stadelmann (Suisse). Réalisé par Ivan Bacciocchi. Les personnages et les interprètes : Sceledro : Ivan Bacciocchi, Milfidippa : Camillo Grassi, Palestrione : Jacopo Costantini, Periplectomeno : Camillo Grassi, Acroteleuzia : Anna Cappellari, Pirgopolinice : Mauro Eusti, Filocomasia : Veluna Cauli, Pleusicle : Jason Ribes (France), Artrotogo : en cours de définition, Nocchiero (personnage masqué) : Cosette Dubois (Guatemala) chœur : Takahiro Narumi (Japon), Yannick Barnole (France), Juan Fernandez (Chili), Iryna Labetskaïa (Russie), Clotilde Pradere (France), Paola Olarte (Colombie), Anna Cappellari, Veluna Cauli, Jason Ribes (France), Cosette Dubois (Guatemala).
Durée du spectacle : 1 heure et 20 minutes, drame en un acte, “Miles Gloriosus” est la comédie de Plaute, la plus longue qui nous soit parvenue. L’intrigue est riche et variée et tourne autour d’un soldat fanfaron, nommé Pirgopolinice. Le soldat kidnappe, une jeune courtisane nommée Filocomasia amante de Pleusicle et profite de l’absence de ce dernier pour l’amener à Ephèse.
Palestrione, l’esclave rusé de Pleusicle, part sur les traces de Filocomasia. Et après différentes mésaventures, il finit pour retrouver le soldat et parvient à appeler son patron, le jeune Pleusicle, qui est hôte du vieux Periplectomeno, dont la maison est voisine de celle du soldat.
Palestrione élabore un plan pour sauver Filocomasia, faisant croire à Pirgopolinice, que la riche femme de Periplectomeno est éperdument amoureuse de lui. Sa ruse, est telle qu’il arrive à faire croire à l’escave du soldat, Sceledro, qui a vu Filocomasia et Pleusicle s’embrasser, que la femme qu’il a vu n’est pas la concubine du soldat mais sa soeur jumelle.
Ce jeu de duplicité est un expédiant très utilisé dans la comédie latine, et particulièrement chez Plaute.
Formés à l’art prodigué par l’École Internationale de Mime Corporel Dramatique de Paris, un groupe de dix mimes, de diverses nationalités, accompagnés sur scène par un groupe d’acteurs Italiens, se confrontent dans un classique de la Comédie Latine : “Miles Gloriosus” de Plaute. Ce croisement entre cultures théâtrales de diverse provenances, veut être une proposition originale qui relie les uns et les autres, les mettant en relation à travers leur chorégraphie, jeux de masque et théâtre classique. Le but étant de proposer une lecture originale d’un drame antique classique. A travers une série de « tableaux », le spectateur est transporté dans un combat de rue, l’intimité des jeux de l’amour, il se retrouve dans la vie quotidienne d’une place, et d’un banquet, ou tout à coup plongé dans la poésie absurde d’une maison qui parle. La mise en scène de Ivan Bacciocchi donne une grande place au théâtre visuel faisant ainsi, de la coexistence du Mime et du Théâtre Classique, une vraie réussite.
Note de la direction : Le mime est pas un art narratif, il est fait de présence et d’actions qui veulent évoquer les différents moments d’un développement dramatique, en donnant une lecture évocatrice, poétique et métaphorique. Laissant ainsi, au spectateur, la possibilité de donner vie a son propre monde imaginaire. Notre soldat fanfaron se vente de batailles qu’il n’a jamais combattues et se vante de conquêtes féminines, qu’il n’a jamais faites. Son seul talent est la parole, dont il use pour narrer ses incroyables et fabuleuses aventures. Le transformant ainsi en un héros comique et grotesque par ses inoffensives fanfaronnades. Il nous offre la certitude de rire, nous permettant de fuir, ne serait-ce que pour un soir, l’ennui des problèmes quotidiens. Mais alors, pourquoi tous complotent contre lui ?
Et si sa vanité nous fait tant rire, ne serait-ce pas parce que, elle n’est pas aussi… un peu la notre ? Ivan Bacciocchi
Copyright by Yvan Teulé
Miles Gloriosus
– Prima Mondiale –
Ecole Internationale de Mime Corporel Dramatique di Parigi presenta Ivan Bacciocchi e Camillo Grassi in
di Tito Maccio Plauto e con Anna Capellari, Venula Cauli, Jacopo Costantini, Cosette Dubois, Mauro Eusti, Jason Ribes e alcuni degli allievi della ECOLE INTERNATIONALE DE MIME CORPOREL DRAMATIQUE di Parigi Maschere realizzate da Anna Cappellari Aiuto regista Natalie Stadelmann (Svizzera) Regia di Ivan Bacciocchi Personaggi e interpreti: Sceledro: Ivan Bacciocchi Milfidippa: Camillo Grassi Palestrione: Jacopo Costantini Periplectomeno: Camillo Grassi Acroteleuzia: Anna Cappellari Pirgopolinice: Mauro Eusti Filocomasia: Veluna Cauli Pleusicle: Jason Ribes (Francia) Artrotogo: in corso di definizione Nocchiero (personaggio mascherato): Cosette Dubois (Guatemala) Coro: Takahiro Narumi (Giappone), Yannick Barnole (Francia), Juan Fernandez (Cile), Iryna Labetskaïa (Russia), Clotilde Pradere (Francia), Paola Olarte (Colombia), Anna Cappellari, Veluna Cauli, Jason Ribes (Francia), Cosette Dubois (Guatemala) Durata dello spettacolo: 1 ora e 20 minuti, atto unico Trama Il “Miles Gloriosus” è la commedia di Plauto più lunga a noi giunta. La trama è ricca e articolata e ruota intorno a un soldato vanesio e fanfarone, Pirgopolinice. Il soldato rapisce, portandola con sé a Efeso, una giovane cortigiana, Filocomasia, amante di Pleusicle, lontano da Atene in quel momento. Il furbo schiavo del giovane, Palestrione, si mette sulle tracce di Pirgopolinice. Dopo una serie di disavventure, lo schiavo riesce a raggiungere il soldato e a far chiamare il suo padrone. I due sono ospiti del vecchio Periplectomeno, vicino di casa del soldato. Palestrione escogita un piano per salvare Filocomasia, facendo credere a Pirgopolinice che la ricca moglie di Periplectomeno sia innamorata di lui. Ulteriore beffa è quella ordita da Palestrione nei confronti dello schiavo del soldato, Sceledro. Sceledro, infatti, vede Filocomasia e Pleusicle baciarsi, e Palestrione, per evitare che Pirgopolinice lo scopra, fa credere all’altro schiavo che il giovane non sta baciando Filocomasia, ma la sorella gemella. Quello del doppio è un espediente molto utilizzato nelle commedie latine, soprattutto da Plauto.
Copyright by Yvan Teulé

Le maître du silence…
Le maître du silence…
Le maître du silence…
Peter Shub (au centre) est un mime et un clown de renommée internationale, lauréat du prix du Festival du Cirque de Demain de Paris et du célèbre Festival international de Monte-Carlo.
Fin janvier, cette étoile du mine était dans nos murs, très précisément à l’École Internationale de Mime Corporel Dramatique, située rue Gaston-Lauriau. Il y a animé une masterclass qui a convaincu les élèves, qui l’ont remercié par le geste de son enseignement. Cette école est dirigée par Ivan Bacciocchi, membre du GLAM (Groupe de liaison des arts du mime), dépendant du ministère de la Culture. Elle propose une palette de formations professionnelles autour des « Arts du mime et du geste ». Des ateliers pour amateurs sont accessibles à tous. www.mimecorporel.com
Le Montreuillois N° 28

Jean Reno & Georgia May Jagger à la ‚The Artist‘
Jean Reno & Georgia May Jagger à la ‚The Artist‘
Jean Reno & Georgia May Jagger à la “The Artist”
Da haben die Macher aber ein gutes Gespür bewiesen! Gerade räumte der französische Stummfilm „The Artist“ fünf Oscars ab (Viply berichtete), da präsentiert das Magazin Harper`s Bazaar eine klassische, schwarz-weiße Modestrecke im Stil der 20er, bei der auch „The Artist“-Regisseur und Oscar-Preisträger Michel Hazanavicius mit verantwortlich zeichnete!
Wenn das mal keine schöne Abwechslung ist. Stars im vom Stummfilm inspirierten Foto-Shooting sind der französische Schauspieler Jean Reno („The Da Vinci Code – Sakrileg“) und Model Georgia May Jagger. Er mimt einen Magier, sie seine Muse. Und dann gibt es da noch den „störenden Verehrer“, dargestellt vom weltbekannten Pantomimen Ivan Bacciocchi. Der Zauberer kann seine Flirterei mit Georgia nicht ertragen. Da ist zu viel Eifersucht im Spiel. Wie die Geschichte ausgeht, ist in der Galerie zu sehen!
Nicht unerwähnt bleiben soll die Mode, um die es eigentlich geht. Georgia trägt Kleider aus den neuen Frühling-Sommer-Kollektionen von Ralph Lauren, Gucci, Burberry Prorsum und Alberta Ferretti. „Ich liebe diesen Glamour. Es hat Spaß gemacht, sich mit Diamanten, Federn, Haarbändern, Hüten und Handschuhen zu schmücken“, erklärte sie nach dem Shooting.

Repérage
Repérage
“Qui sont ces drôles d’acteurs pour qui le silence est d’or ?”
Émission présenté Katherina Marx et reportage faite par Chloë Audrain pour Miss Luna Films
Mime corporel

Faut-il croire le mime sur Parole ?
Faut-il croire le mime sur Parole ?

Photo Yvan Teulé
Création 2003
Ecrit et mis en scène par Claire Heggen et Yves Marc
Avec Ivan Bacciocchi
// Grande et petites histoires du mime
Un acteur, conférencier, démonstrateur, illusionniste, fait renaître avec humour et poésie les figures de Livius Andronicus, d’Arlequin, du Pierrot de Jean-Gaspard Debureau et des Enfants du Paradis, de Charlot ou encore de Bip de Marcel Marceau. Pour un instant, il convoque la statuaire mobile d’Etienne Decroux, l’acteur total de Jean-Louis Barrault, le clown ou le bouffon de Jacques Lecoq.
Pris au piège du titre, Ivan Bacciocchi va tenter de relever le défi. Muni d’une valise insolite, il va, par sa verve, faire revivre vingt-cinq siècles d’histoire du mime et du théâtre.
Pour une conférence sur l’histoire du mime de l’Antiquité à nos jours, il fallait un conférencier, ou plutôt un conteur, capable de raconter de manière ludique et passionnée la grande et les petites histoires du mime.
Il fallait un mime rompu aux difficiles techniques de la Commedia dell’arte, de la pantomime et de celle particulièrement rigoureuse d’Étienne Decroux. Il fallait un acteur capable d’imiter les grands du cinéma muet, de se glisser dans les codes du clown ou du masque. Nous avons trouvé Ivan Bacciocchi, mime, acteur, improvisateur, professeur.
À vous bientôt d’en découvrir le talent aux multiples facettes…

Au Palais de Tokyo

Palais de Tokyo, Paris / photo Yvan Teulé
Ivan Bacciocchi au Palais de Tokyo
« 30 heures, c’est court ! relève Jean de Loisy. Il faut en permanence que ce lieu soit habité, désiré. Sans silence. J’ai envie de dire aux artistes, allez-y, le Palais est à vous ! Car il ne s’agit pas de regarder l’art, mais de l’éprouver. C’est le sens de ma vie et j’essaie de le faire partager. » Le site – hormis les espaces de La Triennale en montage – sera donc, pendant ces deux longs jours, entièrement investi par les artistes qui dessineront « un parcours performatif inédit aussi riche que varié ». Ange Leccia fera réfléchir, par exemple, à l’aide d’un immense miroir, les courbes du Palais, Hajnal Nemeth démantèlera la carcasse d’une voiture
au rythme d’un opéra surréaliste, le mime Ivan Bacciocchi interprétera dans le cadre du module de Maxime Rossi une série de sons anodins – d’une porte qui grince à un bruit de canalisation, à un chien qui aboie –, François Curlet viendra lire tous ses SMS envoyés depuis dix ans… On pourrait continuer comme ceci des lignes et des lignes tant la programmation est abondante. Jean de Loisy n’a pas peur du « trop ». Au contraire, selon ses propres dires, « il n’y en a jamais assez ! »

Marceau said much with his silent act
Marceau said much with his silent act
The world-famous master of mime Marcel Marceau died on September 22nd at the age of 84. Marceau achieved world fame when he created Bip, his on-stage persona, a sad-faced tragi-comic figure. Bip expressed happiness and hope, solitude and despair. He showed life in all its beauty and fragility. Radio France International’s Christine Pizziol-Griere has this report: I’m at the “Atelier de Belleville”, a Mime school run by Ivan Bacciocchi in Paris. He’s guiding his students through a whole range of mime gestures. We tilt our heads to the right, then bounce back to centre, repeat the movement adding the neck, then the chest, followed by the torso. There’s a real sense of rhythm here. Bacciocchi trained as an actor in his native Italy before coming to Paris to study miming at the school of Etienne Decroux. He then worked alongside Marcel Marceau for 10 years at Marceau’s mime school. “ Marcel Marceau was somebody who mastered the art of speaking. He loved to talk… he enjoyed telling anecdotes about his life or about the people he knew. He was a very warm individual and reached out to others. He was a true humanist; he looked upon others, on humanity with a big heart. He could be upset by tragic events and gladdened by all the little things in life. In daily life he was a very down to earth person.”
I asked some students what brought them to this mime workshop. Marjolaine Levebre is learning the art of mime for her work as a magician.
“I think it can help me on stage to be more present, more efficient.”
What do you like about miming?
“The silence, the body is speaking, your imagination has to work. You can’t just see and be passive. As a spectator, you have to be active, to see and understand; you are engaged.”
“What did Marcel Marceau represent for you?”
“Marcel Marceau gave his art to all publics, Marceau tried to make miming more popular.”
Marjolaine hopes that Marceau’s death will revive interest in the art of mime. Another student, George Ede, explains how he’s joined the mine group:
“It was actually a gift from my wife…On my birthday she gave me an envelope with money inside and a date and address and said show up there…. work is stressful, I’m travelling between Paris and New York and this gives me an opportunity to improvise and think like a child; it’s kind of fun.”
In one famous sketch, Marcel Marceau plays all the characters in a park from little boys playing ball to old ladies knitting. In his act ‘Youth, Maturity, Old Age, Death, he showed the passing of an entire life in just minutes. He tamed lions, flirted with ladies at cocktail parties, tried to escape from glass boxes and cages. He adored silent film star Charlie Chaplin. He was also a fan of Buster Keaton and the Marx Brothers. Marcel Marceau was revered by people in Japan and North America. But his relationship with his home country was more complicated and he performed less on the French scene in the past 20 years. Was he seen as old-fashioned? Or is it the case that no one can be a prophet in his own land? Ivan Bacciocchi regrets the closing of Marcel Marceau’s mime school in 2005 and worries about the future of mime in France:
“Although the art of mime is disappearing rapidly, work on body expression is flourishing. But what remains of this heritage? It’s not a building! As you can see, there’s a method, and rules. What will remain of this heritage if it’s not passed on? So that is a real dilemma because we’re losing memory, memory that’s been developed over many years of research. It’s as if contemporary dance turned its shoulder on classical dance, saying ‘you no longer interest us, we’re only going to do modern or post-modern dance’. All the founders of modern dance started out with classical dance. Mime is heritage that should be protected, studied and passed on. France, the homeland of Jean-Louis Barrault, Etienne Decroux and Marcel Marceau — all masters of mime — should have done more to defend its heritage.”
Marcel Marceau invented over 250 hand signs. He influenced countless younger performers. Pop star Michael Jackson says his famous ‘moonwalk’ was inspired by Marceau’s sketch “Walking against the Wind”. Marceau played to full houses around the globe averaging 200 shows a year until well into his seventies. He also painted, wrote children’s books and appeared in several movies. On-stage, Marcel Marceau never uttered a single word. Except once. He said the only line in Mel Brook’s ‘silent movie.’ The line consisted of one word, a resounding French ‘Non!’. Marcel Marceau — the man who chased butterflies as Bip — left the worldly stage this week. His career spanned 50 years, and the whole range of human emotions. For Network Europe, I’m Christine Pizziol-Grière.
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