l’École Pierre Debauche invite Natalie Stadelmann, co – directrice de l’EIMCD.
Le spectacle DA CAPO* ou déséquilibre éphémère présenté au Théâtre du Jour avec les élèves de deuxième année.
Mise en scène : Natalie StadelmannCréation lumière : Grégory Lechat- Creations Masques: Natalie Stadelmann
– Distribution (l’ensemble des étudiants de deuxième année) : Lisa Barbier, Marina Laffranque, Lisaly Touzanne, Gabin Mondot, Grégory Lechat, Samuel Meyer, Ombeline Ray De Poitevin et Dorian Valprémit- Régie : Nina Morazin et Pierre-Louis Furon – Remerciements : Clara Sébert et Malène Seye, Nicolas Vigneau un remerciement particulier à Olivier Dumas et toute l’équipe de l’Ecole Pierre Debauche pour leur confiance et l’aventure qui nous a été proposée.
Le Collectif des Arts du Mime et du Geste a commémoré les 30 ans de la mort d’Etienne Decroux lors de la 4èmeBiennale des Arts du Mime et du Geste. Le 27 novembre 2021, nous avons été invités à cet évènement afin de rendre hommage aux travaux effectués par Etienne Decroux et célébrer l’empreinte laissée sur notre art.
L’EIMCD a eu l’honneur de participer à l’évènement « Mon Decroux à moi ». Evènement durant lequel nous avons pu confronter les différents points de vue des élèves, professeurs et artistes à travers ces sujets :
Quelle est la place des techniques d’Etienne Decroux dans notre art ?
Comment la transmission des connaissances d’Etienne Decroux se fait-elle ?
L’empreinte d’Etienne Decroux est-elle toujours visible aujourd’hui ?
Quel est le véritable héritage d’Etienne Decroux ?
Quel but devons-nous atteindre en étudiant les travaux d’Etienne Decroux ?
Cette rencontre était intéressante et pleine d’enseignements.
Rdv sur notre Facebook ou Instagram @ecoleinternationaledemime pour découvrir les photos de l’évènement.
Durant La 61e édition du Plaitus festival a Sarsina a débuté cette année la première sommerschool, dans la ville de Tito macho Plauto, principal dramaturge de la commedia latina.
L’école internationale de mime corporelle dramatique s’engage avec la municipalité de Sarsina, à pérenniser cette expérience qui a rencontré cette année un grand succès chez les participants venant de France, de l’Italie, de l’Allemagne et de la Suisse.
“Oiseau de Paradis” imaginé par Maxime Rossi et Jonathan Pouthier et organisé par les amis du Centre Pompidou pour le départ du directeur du Musée national d’art moderne.
Ivan Bacciocchi s’occuperait de la dimension silencieuse de la soirée mémorable l’Oiseau de Paradis, ..Merci Maxime.
Parlant des expériences virtuelles Airbnb qu’il a fait en un week-end le journaliste David Pogue nous a fait l’honneur de nous compter au nombre des cours qu’il a sélectionné pour les lecteurs du prestigieux journal new-yorkais :
I Spent a Weekend Bingeing Airbnb’s Virtual Experiences. Was it Worth It?
Expert one-on-ones
At one point during “The Art of Mime with a Parisian Master” ($17), I had to work to stay focused on plucking my invisible flower and presenting it to my invisible lover. I’d become distracted by the improbability of the situation: A one-time colleague of Marcel Marceau was critiquing my mime performance from his studio in Paris in real time. (His note was that when I proffered the flower, I tended to stick my butt out.) It was Ivan Bacciocchi, co-director of the International School of Dramatic Corporal Mime in Paris, speaking French and translated by a fellow instructor.
Quelques pépites en photos de notre travail avec les élèves du Lycée Français de New-York qui nous a accueilli, dans le cadre de son programme d’Artistes en résidence.
Le but de cette résidence était de partager de façon poétique le personnage de Pierrot, personnage romantique au visage enfariné qui depuis longtemps est associé au patrimoine Français.
Après une brève initiation à l’Art du Mime, avec le département des professeurs de Français, qui travaille en parallèle sur le film “Les Enfants du Paradis” de Marcel Carné, ils ont développé leur propre interprétation de Pierrot et de son histoire émouvante.
Nos remerciements vont aux professeurs qui ont soutenu ce projet en le rendant possible.
Bravo à tous, la relève des Pierrot est déjà prête aussi de ce côté de l’Atlantique…
Photos LFNY Lycée Français de New-York – Cliquez sur les vignettes pour accéder à la galerie
Décidément, notre notoriété ne connait plus de frontières. Cette fois c’est TVB de Hong Kong qui nous a rendu visite avec la pétillante Christy Leung qui a présenté notre Ecole pour leur audience internationale qui couvre aussi bien le Canada, les USA, Taiwan, Okinawa.
En reportage sur l’Open de tennis français à Roland Garros pour Tennis Channel, la journaliste Mary Carillo de L.A. (USA) suit un cours de mime dans notre école. Mary Carillo a visité des endroits spéciaux et des endroits emblématiques autour de Paris.
Tennis Channel est basé à Los Angeles et la série produite par Mary Carillo s’appelle “Mary in Paris”
Elle a réalisé un petit film sur notre école que nous sommes heureux de partager avec vous :
L’École Internationale de Mime Corporel Dramatique de Paris présente Ivan Bacciocchi et Camillo Grassi dans Miles Gloriosus (Le soldat fanfaron) de Plaute (Titus Maccius Plautus né vers 254 av. J.-C.) avec Anna Capellari, Venula Cauli, Jacopo Costantini, Cosette Dubois, Mauro Eusti, Jason Ribes et des élèves de l’ÉCOLE INTERNATIONALE DE MIME CORPOREL DRAMATIQUE de Paris, Masques réalisés par Anna Cappellari, directrice adjointe Natalie Stadelmann (Suisse). Réalisé par Ivan Bacciocchi. Les personnages et les interprètes : Sceledro : Ivan Bacciocchi, Milfidippa : Camillo Grassi, Palestrione : Jacopo Costantini, Periplectomeno : Camillo Grassi, Acroteleuzia : Anna Cappellari, Pirgopolinice : Mauro Eusti, Filocomasia : Veluna Cauli, Pleusicle : Jason Ribes (France), Artrotogo : en cours de définition, Nocchiero (personnage masqué) : Cosette Dubois (Guatemala) chœur : Takahiro Narumi (Japon), Yannick Barnole (France), Juan Fernandez (Chili), Iryna Labetskaïa (Russie), Clotilde Pradere (France), Paola Olarte (Colombie), Anna Cappellari, Veluna Cauli, Jason Ribes (France), Cosette Dubois (Guatemala).
Durée du spectacle : 1 heure et 20 minutes, drame en un acte, “Miles Gloriosus” est la comédie de Plaute, la plus longue qui nous soit parvenue. L’intrigue est riche et variée et tourne autour d’un soldat fanfaron, nommé Pirgopolinice. Le soldat kidnappe, une jeune courtisane nommée Filocomasiaamante de Pleusicle et profite de l’absence de ce dernier pour l’amener àEphèse.
Palestrione,l’esclave rusé de Pleusicle, part sur les traces de Filocomasia. Et après différentes mésaventures, il finit pour retrouver le soldat et parvient à appeler son patron, le jeune Pleusicle, qui est hôte du vieux Periplectomeno, dont la maison est voisine de celle du soldat.
Palestrione élabore un plan pour sauver Filocomasia, faisant croire à Pirgopolinice, que la riche femme de Periplectomeno est éperdument amoureuse de lui.Sa ruse, est telle qu’il arrive à faire croire à l’escave du soldat, Sceledro, qui a vu Filocomasia et Pleusicle s’embrasser, que la femme qu’il a vu n’est pas la concubine du soldat mais sa soeur jumelle.
Ce jeu de duplicité est un expédiant très utilisé dans la comédie latine, et particulièrement chez Plaute.
Formés à l’art prodigué par l’École Internationale de Mime Corporel Dramatique de Paris, un groupe de dix mimes, de diverses nationalités, accompagnés sur scène par un groupe d’acteurs Italiens, se confrontent dans un classique de la Comédie Latine : “Miles Gloriosus” de Plaute. Ce croisement entre cultures théâtrales de diverse provenances, veut être une proposition originale qui relie les uns et les autres, les mettant en relation à travers leur chorégraphie, jeux de masque et théâtre classique. Le but étant de proposer une lecture originale d’un drame antique classique. A travers une série de « tableaux », le spectateur est transporté dans un combat de rue, l’intimité des jeux de l’amour, il se retrouve dans la vie quotidienne d’une place, et d’un banquet, ou tout à coup plongé dans la poésie absurde d’une maison qui parle. La mise en scène de Ivan Bacciocchi donne une grande place au théâtre visuel faisant ainsi, de la coexistence du Mime et du Théâtre Classique, une vraie réussite.
Note de la direction : Le mime est pas un art narratif, il est fait de présence et d’actions qui veulent évoquer les différents moments d’un développement dramatique, en donnant une lecture évocatrice, poétique et métaphorique. Laissant ainsi, au spectateur, la possibilité de donner vie a son propre monde imaginaire. Notre soldat fanfaron se vente de batailles qu’il n’a jamais combattues et se vante de conquêtes féminines, qu’il n’a jamais faites. Son seul talent est la parole, dont il use pour narrer ses incroyables et fabuleuses aventures. Le transformant ainsi en un héros comique et grotesque par ses inoffensives fanfaronnades. Il nous offre la certitude de rire, nous permettant de fuir, ne serait-ce que pour un soir, l’ennui des problèmes quotidiens. Mais alors, pourquoi tous complotent contre lui ?
Et si sa vanité nous fait tant rire, ne serait-ce pas parce que, elle n’est pas aussi… un peu la notre ? Ivan Bacciocchi
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Miles Gloriosus
– Prima Mondiale –
Ecole Internationale de Mime Corporel Dramatique di Parigi presenta Ivan Bacciocchi e Camillo Grassi in di Tito Maccio Plauto e con Anna Capellari, Venula Cauli, Jacopo Costantini, Cosette Dubois, Mauro Eusti, Jason Ribes e alcuni degli allievi della ECOLE INTERNATIONALE DE MIME CORPOREL DRAMATIQUE di Parigi Maschere realizzate da Anna Cappellari Aiuto regista Natalie Stadelmann (Svizzera) Regia di Ivan Bacciocchi Personaggi e interpreti: Sceledro: Ivan Bacciocchi Milfidippa: Camillo Grassi Palestrione: Jacopo Costantini Periplectomeno: Camillo Grassi Acroteleuzia: Anna Cappellari Pirgopolinice: Mauro Eusti Filocomasia: Veluna Cauli Pleusicle: Jason Ribes (Francia) Artrotogo: in corso di definizione Nocchiero (personaggio mascherato): Cosette Dubois (Guatemala) Coro: Takahiro Narumi (Giappone), Yannick Barnole (Francia), Juan Fernandez (Cile), Iryna Labetskaïa (Russia), Clotilde Pradere (Francia), Paola Olarte (Colombia), Anna Cappellari, Veluna Cauli, Jason Ribes (Francia), Cosette Dubois (Guatemala) Durata dello spettacolo: 1 ora e 20 minuti, atto unicoTrama Il “Miles Gloriosus” è la commedia di Plauto più lunga a noi giunta. La trama è ricca e articolata e ruota intorno a un soldato vanesio e fanfarone, Pirgopolinice. Il soldato rapisce, portandola con sé a Efeso, una giovane cortigiana, Filocomasia, amante di Pleusicle, lontano da Atene in quel momento. Il furbo schiavo del giovane, Palestrione, si mette sulle tracce di Pirgopolinice. Dopo una serie di disavventure, lo schiavo riesce a raggiungere il soldato e a far chiamare il suo padrone. I due sono ospiti del vecchio Periplectomeno, vicino di casa del soldato. Palestrione escogita un piano per salvare Filocomasia, facendo credere a Pirgopolinice che la ricca moglie di Periplectomeno sia innamorata di lui. Ulteriore beffa è quella ordita da Palestrione nei confronti dello schiavo del soldato, Sceledro. Sceledro, infatti, vede Filocomasia e Pleusicle baciarsi, e Palestrione, per evitare che Pirgopolinice lo scopra, fa credere all’altro schiavo che il giovane non sta baciando Filocomasia, ma la sorella gemella. Quello del doppio è un espediente molto utilizzato nelle commedie latine, soprattutto da Plauto.
Formati all’arte del Mimo alla Scuola Internazionale di Mimo Corporeo Drammatico di Parigi, un gruppo di dieci mimi, di diversa nazionalità, accompagnati in scena per un gruppo di attori Italiani, si confronteranno con uno dei classici della Commedia Latina: “Miles Gloriosus” di Plauto. Questo incrocio fra culture teatrali di diversa provenienza, vuole essere una proposta originale che vuole mettere in relazione fra di loro coreografia, gioco mascherato e teatro classico. L’intento è quello proporre una lettura originale di un classico della drammaturgia antica. Attraverso una serie di “quadri”, lo spettatore è trasportato, da una rissa di strada, all’intimità del gioco amoroso, per ritrovarsi poi nel quotidiano di una piazza e di un banchetto, fino all’assurda poesia di una casa che parla. La messa in scena di Ivan Bacciocchi lascia ampio spazio al teatro visuale riuscendo così a far coesistere Mimo e Teatro Classico.
Note di regiaIl mimo non è un arte narrativa, è fatto di presenze e di azioni che vogliono evocare i diversi momenti di uno sviluppo drammatico, proponendone una lettura evocativa, poetica e metaforica.Allo spettatore viene così lasciata la possibilità di dar vita al suo mondo immaginario.Il nostro soldato fanfarone si fregia di battaglie che non ha mai combattuto e si vanta di conquiste femminili che non ha mai fatto. Il suo solo talento è la parola, che usa per narrare le sue incredibili e favolose avventure. Trasformandosi così in un comico, grottesco e innocuo eroe di fanfaronate.Con lui c’è la certezza di ridere, potendo così sfuggire, anche solo per una sera, alla noia e ai problemi del quotidiano.Ma allora, perché tutti complottano contro di lui? La sua vanità che ci fa tanto ridere non è forse un po’ anche la nostra? Ivan Bacciocchi
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